Vis ta vie de Zombie

Un zombie est un cadavre humain réanimé qui se nourrit de chair humaine. C’est la définition la plus basique du zombie, mais le monde des morts-vivants est bien plus vaste que cette simple considération. En effet, dans la très longue liste de films de zombies connus à ce jour, il existe un univers entier de cas sociologiques, philosophiques et psychologiques à explorer.

Il est possible que la source étymologique du terme "zombie" soit jumbie, terme d’origine caribéenne pour fantôme, ou bien nzambi, qui signifie "esprit du mort" dans l’ancien royaume du Kongo, ou encore zonbi, utilisé en créole haïtien et en Louisiane, terme désignant une personne morte et ramenée à la vie sans pouvoir parler et sans aucun libre arbitre. Dans la croyance vaudou, la personne morte et ressuscitée reste sous le contrôle du sorcier responsable de sa résurrection, mais on peut faire également mention du processus de zombification, que l’on retrouve dans quelques rites vaudou où le sorcier utilise une poudre contenant une puissante neurotoxine paralysant le système nerveux, et plaçant le sujet dans un état d’hibernation entraînant des lésions au cerveau par manque d’oxygène dans le sang.

En effet, il est généralement entendu que l’origine de ce "concept" de zombie se trouverait dans de vieilles légendes afro caribéennes, en relation avec la pratique du Vaudou, mais là n’est pas vraiment le sujet que je souhaite aborder, car l’apparition notable des zombies dans la culture populaire est avant tout liée à l’émergence d’œuvres cinématographiques durant les années 60. La quantité de films traitant de ces personnages si particuliers devient d’ailleurs impressionnante dans les décennies suivantes. Dans la grande majorité des cas, les films de zombies sont cools, et même s’ils sont très mal faits ou très nuls, ils bénéficient quand même d’un certain crédit du à leur loufoquerie ou à leur second degré. Il est virtuellement impossible de tomber sur un film de zombies entièrement raté.

Dès lors, il faut savoir qu’il existe plusieurs types de zombies et deux caractéristiques sont principalement admises pour définir le zombie auquel vous pouvez vous attendre dans un film du genre. Ce sont leurs facultés psychomotrices d’une part (rapidité et intelligence) et le mode de contamination qui a servi à faire d’eux des morts-vivants d’autre part. Je ne suis pas geek au point de vouloir partir sur le débat «un bon zombie est un zombie lent…», car il semble y avoir débat mais cela n’est pas très intéressant à mon goût. Il est vrai que les zombies lents sont un must dans le genre, c’est un état qui rend «étrange et stone» comme on nous l’annonce par exemple dans Zombies of Mass Destruction (de Kevin Hamedani, 2009), ou comme lorsqu’on prend du Rivotril®. Mais ce n’est pas non plus un fait observé systématiquement. Il existe en effet des wagons de films où l’on peut voir des zombies hyper véloces, hyper vénères et même un peu malins [28 jours plus tard (2003), Dawn of the Dead (2004), Quarantine (2008), Zombieland (2009, avec mention spéciale pour le clown-zombie dans la scène de la fête foraine !), Dead Snow (2010), …] en opposition à ce standard du zombie dit classique de la culture pop : très lent au niveau de ses déplacements, abruti, mais toujours cannibale [Immortalisé dans des œuvres de référence comme Night of the living dead (1968) et Dawn of the dead (1978) de George A. Romero et revisité récemment par Simon Pegg et Edgar Wright dans Shaun of the dead (2005)]. Le mode de contamination qui fait qu’un être humain se change en mort-vivant est très important si l’on considère le rapport au monde qu’entretient le zombie dans ces films. C’est ce sur quoi je m’attarderai plus longuement après avoir rappelé une chose fondamentale qui, vous le verrez, sera le fil conducteur tout au long de cet article :

Les zombies sont avant tout des victimes !

Je doute qu’il existe une seule personne qui souhaite devenir zombie, imaginez : se retrouver être une sorte de légume, en état de décomposition plus ou moins avancé avec une peau généralement grise et dégueulasse, des yeux vitreux blancs, jaunes ou rouges selon les cas, des facultés cognitives assez réduites et l’envie irrépressible de se nourrir ! Sans même parler de la stigmatisation dont ils sont la cible, il apparaît très pénible de vivre sa vie de zombie. Soit dit en passant, c’est tout à fait raccord avec la façon dont on traite le handicap dans notre société ultramoderne.

Une étude récente menée par des chercheurs canadiens des universités Carleton et université d’Ottawa, avec la création d’un modèle mathématique décrivant le fonctionnement d’une épidémie de zombie, prédis qu’un tel événement serait un désastre pour l’humanité, conduisant à l’effondrement de la société telle qu’on la connaît. Les équations de ce modèle ont été mis en application en considérant plusieurs scénarios : la mise en place d’une quarantaine très agressive ne pourrait que contenir l’épidémie imparfaitement car elle serait très difficile à mettre en place de façon pratique, et la mise au point d’un traitement médical ne mènerait qu’à la coexistence des zombies et des humains en petit nombre, à moins, et c’est la seule opportunité qui serait laissée à l’humanité pour s’en sortir, qu’on arrive à faire disparaître les zombies de façon violente et rapide, et de répéter l’opération avec une grande fréquence et de plus en plus fortement [When Zombies Attack ! : Mathematical Modelling of an Outbreak of Zombie Infection (P. Munz & I. Hudea, Nova Science Publishers, 2009)]. Ce qui ne laisse pas présager de bonnes choses concernant ces pauvres zombies qui n’ont rien demandé et qui sont censés être vos amis, votre conjoint, votre famille, et vous-même, ne l’oublions pas !

Mon propos est de décrire ce à quoi nous devons nous attendre si dans le futur, nous avons à faire à ce mode de vie, les différents aspects de notre existence en tant que zombie, les options qui pourraient se présenter à nous, en fonction des différents exemples qui sont donnés dans la filmographie touffue des films de morts-vivants. Ainsi, je vous préviens, une vie de zombie n’est pas une belle vie, il existe très peu de happy ends lorsque l’on assiste à l’apparition de ce genre de créatures. Si le cas se présente, il faudra donc se faire à l’idée que l’on sera obligé de faire beaucoup de concessions quant à notre qualité de survie.


Le régime alimentaire d’un zombie, comme vous le savez sûrement déjà, est presque uniquement composé de chair humaine fraîche, mais dans certains cas particuliers, les zombies essayent de faire des efforts pour ne pas tomber dans ce cliché [comme dans Zombie Hunter Rika (2009), Zombie Anonymous (2006) ou Zombie Honeymoon (2004)] prouvant que le libre arbitre n’est pas automatiquement déficient chez les zombies, même s’ils n’arrivent pas forcement à résister plus de 90 min à cette pulsion de viande humaine, ils en ont en tout cas l’envie et tentent de se comporter comme avant cet accident de la vie dont ils ont été victimes. Et ceci, à l’inverse de l’idée traditionnellement admise qu’un corps ressuscité soit en communion avec la nature et ses habitants, car mis en terre et ingéré par la nature, et qu’il ne peut donc avoir qu’une alimentation opposée à celle des vivants, puisque le mort-vivant a, par définition, changé de stade et de classe [voir les écrits d’Athénagore (v. 133 – 190) : Supplique au sujet des chrétiens et Sur la résurrection des morts, Cerf, Sources chrétiennes n°379, 1992]. On se dit donc que le seul but d’un zombie, ou plutôt sa seule occupation, est d’errer pour assouvir sa faim de chair humaine, mais pourquoi ? Et est-ce vraiment la seule chose à retenir de l’existence d’un zombie ? Nous verrons que c’est effectivement un peu réducteur.

Dans Zombie Honeymoon (de Dave Gebroe, 2004), ce qui préoccupe avant tout un zombie, c’est justement de ne pas se laisser aller à manger des êtres humains, c’est quelque chose de très difficile apparemment, mais les zombies gardent leur sang-froid le plus possible, et se retiennent mais c’est parfois trop dur de résister à l’appel de la nature, c’est humain après tout. C’est même touchant de voir un zombie s’attaquer à un policier, allant jusqu’à risquer des problèmes avec la justice, plutôt que de s’acharner sur les personnes de sa propre famille qu’il aime. Ce genre de situation serait un terreau fertile pour la recrudescence des affaires de violences conjugales, mais non, un mort-vivant est capable d’avoir assez d’amour pour continuer à protéger les siens, même dans cet état. Dans Zombie Hunter Rika (de Kenichi Fujiwara, 2009), maintenir une certaine qualité de vie semble instinctif chez ces morts-vivants, et le self control dont certains sont capables, tient une place primordiale dans leur intégration au monde moderne. Ils aiment bien manger, traîner en ville, conduire sans faire trop attention aux autres, niquer dès que l’occasion se présente, et essayer d’avoir le moins de contact possible avec leur boss. Après tout, à part leur peau grise et le fait qu’ils ne savent pas manger proprement, ils ne sont pas bien différents de la majorité des gens. Mais quand il s’agit d’assouvir justement cette envie irrépressible de chair humaine, cela pose quelques problèmes de cohabitation. Dans Zombie Anonymous (de Marc Fratto, 2006), être un zombie est le symptôme d’une épidémie globalisée et inexpliquée avec ceci de particulier, que tout le monde est concerné, ou plutôt, tous les cadavres frais sont concernés (Tout comme dans le grand classique Night of the Living Dead, de George A. Romero en 1968, où des radiations venues de Venus sont la cause du problème). Tu meurs, tu deviens zombie. Même si tout le monde est logé à la même enseigne, on n’arrive apparemment pas à relativiser de façon satisfaisante l’existence des zombies, et ce, malgré la virtuelle immortalité de l’humanité résultante de l’épidémie. Certes, une crise sanitaire d’une telle ampleur n’est pas facile à gérer, mais les pouvoirs publics se laissent un peu aller à la stigmatisation des morts-vivants. C’est vrai quoi ! Tu y es pour rien, paf, tu es un zombie et tu dois faire face à l’annulation de ta couverture sociale, la discrimination à l’embauche, la ségrégation et la création de centres d’euthanasie où l’on te pousse un peu à te rendre. En plus, tu te tapes une peau dégueulasse (un grand classique), un mal de tête permanent et tu as la gerbe dès que tu manges. Au bout d’un moment tu deviens irritable et un peu marginal, et lorsque tu te rends compte que la viande humaine est la seule chose qui peux t’amener un certain mieux vivre, tu deviens un peu assassin cannibale. Revoilà le débat assez pertinent sur la société qui créerait elle-même sa propre délinquance, on ne peut pas s’acharner sur une partie de la population sans qu’il n’y ait aucune conséquence, qui plus est quand tout le monde est concerné par cette condition de futur mort-vivant. Du coup, ce genre de situation tourne à la guerre civile avec des milices d’humains qui chassent les zombies et des clans de zombies qui traquent les humains.

D’une façon générale, on peut observer que les autorités publiques ne seront pas nominées pour le prix Nobel de la paix en ce qui concerne leur travail sur la gestion des morts-vivants, comme dans Dawn of the Dead (de George A. Romero, 1978), où on voit les forces de l’ordre public se laisser embarquer dans une folie meurtrière en détruisant l’équilibre fragile que certains citoyens réussissent à entretenir, cohabitant localement avec leurs zombies dans une paix relative, en les enfermant dans des sous-sols. Malheureusement, montrer un peu de compassion et d’humanité ne peut pas tenir quand on veut trouver une sorte d’illusion de sécurité par le refus de l’étranger, conduisant à déshumaniser les morts-vivants, incapables de cultiver les valeurs "normales" de la société. Tu m’étonnes ! Pour le crédit des zombies, on considère à peine qu’ils seraient capables de garder quelques réflexes basiques comme d’aller faire des courses au centre commercial. On n’a même pas envie de lutter avec des valeurs comme ça.

La réaction basique du citoyen lambda n’est pas plus subtile pour autant, toujours dans Dawn of the Dead, on voit des rednecks, esclaves de leurs bas instincts (là on parle bien d’humains) assassiner les zombies par plaisir avec leur flingues comme lors d’un safari, plus facilement même car certains animaux sauvages ne sont pas des cibles faciles. On voit aussi quelques ratonnades de zombies dans Zombie Anonymous perpétrées par des miliciens de merde ressemblant à des crew de colleurs d’affiches bien connus. On peut remonter loin dans la description de ce genre de comportement, dans tous les pays et à toutes les périodes, comme par exemple on peut le voir dans Zombie of Maura Tau (de Sam Katzmann, 1957) : dans le code de la route, le piéton est considéré comme prioritaire, sauf qu’en Afrique, dans les années 50, à Maura Tau, lorsqu’un zombie se trouve sur la chaussée, on l’écrase. Et on ne parle d’aucune circonstance atténuante comme lors d’une étape du Paris Dakar. Quoi alors ? On considère un zombie comme un pigeon, au mieux ? Bravo les gars !

En étant un mort-vivant, vous pouvez faire un trait sur vos droits sociaux et vos droits civiques. Dans Reanimator 1 et Reanimator 2 (de Stuart Gordon et Brian Yuzna, 1985 et 1989), vous êtes internés d’emblée dans des unités psychiatriques, et on se permet de vous considérer d’office comme cobayes et donneur d’organes. Dans Quarantine 2 (de John G. Pogue, 2010) même si on estime que vous êtes un otage pris dans une attaque terroriste bactériologique, on n’hésitera pas à vous descendre, en prétendant vous apporter une assistance médicale, si vous laisser paraître la moindre trace de bave de zombie sur vos lèvres, jusqu’à vous descendre tout court quand la force publique considèrera qu’elle n’a pas suffisamment de temps pour vous demander au moins de présenter vos papiers d’identité ou votre statut sérologique, parce qu’elle a quand même d’autres choses à faire que de protéger les citoyens ! Loin de moi l’idée de vouloir humaniser les zombies en déshumanisant les vivants, mais dans de telles situations, là où la solidarité et l’entraide seraient les solutions les plus durables et les plus bénéfiques à tout le monde, il est navrant de constater que les humains choisissent systématiquement le "chacun pour soi", se terminant pratiquement toujours dans un bain de sang.

Après, il faut reconnaître que dans beaucoup de cas, si on se permet de tuer des zombies, c’est d’abord en état de légitime défense ultra urgente, c’est bien normal. On ne peut pas en vouloir aux gens de vouloir sauver leur vie lorsqu’ils sont attaqués par des morts-vivants. Mais il faut quand même savoir d’où vient cette violence chez les zombies, car on ne peut pas blâmer un individu voulant sauver sa peau, certes, mais un zombie est également un individu voulant survivre, dans ce que l’on pourrait appeler un état de légitime survie, être un zombie est un d’abord handicap ! Et il faut dire que la vision que l’on a des zombies les entrave au plus haut point dans leur épanouissement personnel au sein de la société, la frontière entre les bons et les méchants est ici très fine, et on peut vite basculer du côté obscur. Dans le meilleur des cas, les zombies seront cantonnés à de très mauvais rôles, asservissants ou avilissants. Dans Dead Snow (de Tommy Wirkola, 2009), 60 ans après la fin de la guerre, on voit des soldats qui ne sont toujours pas démobilisés, même si c’est un bataillon de nazis SS, et qu’on aurait pu les qualifier de zombies de leur vivant, ils se retrouvent à devoir obéir aux ordres de leur supérieur avide. On a déjà vu des reconversions de nazis un peu plus "réussies". C’est évident que cette situation les fait chier, la preuve c’est que la seule opportunité d’émancipation qui s’offre à eux, c’est de piquer les fringues des touristes qui tombent sous leur mains avant de leur arracher les membres, vous vous voyez vous, porter un uniforme SS pendant des dizaines d’années ? Ça doit boulocher à la longue. Dans Zombie Strippers (de Jay Lee, 2007), la seule possibilité de reconversion consiste à devenir des strip-teaseuses aux capacités artistiques décuplées, et aux facultés intellectuelles améliorées (surtout philosophiques), mais seulement pour les femmes, les hommes, eux, restent cons. Après, quand je parle de capacités artistiques, je parle uniquement des capacités à se contorsionner, à augmenter le nombre de tours que l’on peut faire autour d’une barre, et à lancer des boules de billard avec son vagin. Ce n’est pas non plus la méga classe. En plus, elles ont très peu de temps pour en profiter car leur corps se décompose assez rapidement. Dans Shaun of the Dead, on entrevoit cette vision d’horreur, où les zombies, une fois maîtrisés, servent comme des robots esclaves, assignés à des tâches dégueulasses comme ramener des caddies de supermarchés ou participer à des émissions télévisées du genre Total Wipeout !

On en arrive même à dépeindre certains zombies comme cupides, c’est le comble ! Comme dans Dead Snow et Zombies of Maura Tau, où les morts-vivants, même libérés de leur condition mortelle, seraient amenés à être avides de valeurs sonnantes et trébuchantes, ils devraient au contraire n’en avoir rien à faire, ce ne sont pas des corsaires non plus. «Tout bien que tu détiens est un souci qui te retient», c’est en détruisant leur trésor ou en leur abandonnant la totalité du magot qu’on arrive en s’en débarrasser, une autre façon observée de régler le problème des zombies, dans Zombie Hunter Rika, c’est de tuer leur boss. Sans savoir pour quelle raison, dans ce film, les zombies se trouvent obligés d’obéir à un boss Zombie/Manga/Bioman duquel leur existence dépend par le biais de pouvoirs magiques, et ce n’est qu’en le tuant que les zombies redeviennent humains en sautillant de joie dans les sous-bois. On constate que c’est seulement la rupture de ce genre de malédiction, s’il y a lieu, que l’on peut entrevoir une sortie pour les morts-vivants. Il semblerait qu’un auteur qui n’a pas prévu cet aspect magique dans son histoire, ne pourra pas écrire une fin heureuse. Après tout pourquoi pas ? Ce n’est pas plus absurde que l’apparition des zombies en fait ! Quand on reste dans le schéma cartésien d’une épidémie virale (provoquée ou subie), c’est en général l’armée, la police, des milices citoyennes ou bien encore des commandos de réservistes qui règlent les choses, plus ou moins bien selon les cas mais toujours dans des effusions de sang.

Pour résumer, une vie de zombie, c’est pas génial mais c’est pas la mort !

Je voudrais faire remarquer qu’on laisse très souvent un film de zombies sur une fin ouverte, où tout ne va pas forcement mal mais où le problème n’est pas totalement réglé et maîtrisé, après on est obligé de se taper les suites, et des fois on pourrait s’en passer mais, à propos de suite, je tiens à signaler que le troisième volet de la presque trilogie : 28 moments-d’une-durée-de-plus-en-plus-longue plus tard, est sensé voir le jour courant 2012. Paul Andrew Williams aurait été désigné pour succéder à Danny Boyle et Juan Carlos Fresnadillo, mais Danny Boyle lui-même pourrait reprendre les rênes de cette saga efficace comme réalisateur. On se souvient de la toute dernière seconde de 28 semaines plus tard : des personnes fuyant comme des lapins sur la place du Trocadéro, avec des grognements en fond sonore, ça promet.

Comments
5 Responses to “Vis ta vie de Zombie”
  1. Xavier ARQUIN dit :

    Informatif et subtilement drôle. Merci.

  2. Pasta Fiore dit :

    Takin !

  3. Ca laisse rêveur, y’aurai t’il un choix possible entre:
    – Tout plaquer et devenir un pirate
    ou
    – Tout plaquer et devenir un zombie

  4. Pasta Fiore dit :

    Dans tous les cas, tu n’as le choix qu’à tout plaquer, de ce qui reste à choisir entre le pirate et le zombie je te conseillerai plutôt Nomade.

  5. Pasta Fiore dit :

    La pendule du site n’est pas à l’heure !

    Elle avance.

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